L’offre de Cloud Computing iCod (Infrastructure CHEOPS On Demand) lancée il y a en 2010 par Cheops technology, confirme son succès, explique le PDG, Nicolas LEROY-FLEURIOT. En deux ans, la société a triplé son chiffre d’affaires et ses effectifs elle compte désormais 12 agences et 360 collaborateurs.

Après la mise en place l’an passé de contrats de 36 à 60 mois avec des sociétés telles que CULTURA, CDISCOUNT, ALTADIS, le groupe annonce la signature récente de contrats sur 5 ans, avec YVES ROCHER, EURALIS, le GROUPE GLON, …et de nombreuses PME qui ont confié leur Système d’Information sur iCod à CHEOPS, confie Nicolas LEROY-FLEURIOT. La signature d’un contrat du même type avec 22 cliniques françaises l’a conduit à déposer son dossier d’agrément Hébergeur de Données de Santé auprès du Ministère de la Santé.

« D’importants marchés se négocient actuellement dans ce secteur, dans un contexte il est vrai très concurrentiel : CHEOPS est en compétition avec les plus grands noms du Service Informatique. Néanmoins, notre forte capacité d’adaptation aux besoins des clients, la qualité de son outil de production (2 Datacenters interconnectés distants de 25 km, infrastructures de dernière génération) et sa double expertise infrastructure et infogérance, sont de nature à faire la différence. » commente Nicolas LEROY-FLEURIOT. Il ajoute : « Le ‘pipe’ commercial de la Division Infogérance, en particulier sur l’offre de Green Cloud Computing iCod, reste très fort, le groupe étant de plus en plus consulté sur les problématiques d’externalisation totale ou partielle des actifs informatiques par les PME et ETI.»

La société vient de boucler son exercice 2010-2011 sur un chiffre d’affaires de 65,6 M€, en croissance proche de 11% par rapport au précédent.

« Cheops technology confirme sa guidance 2011/2012 qui table sur une croissance organique de 7% en ligne avec le plan cap 2012. » indique le PDG. Cependant, l’environnement économique actuel très incertain conduit la société à anticiper une progression beaucoup plus modérée sur le reste de l’année, tant en volume qu’en marge, d’où une certaine prudence concernant les perspectives annuelles.

Jean Kaminsky