blueKiwi Software, éditeur européen de réseaux sociaux d'entreprise, annonce aujourd’hui une deuxième levée de fonds d’un montant de 4,7 millions d’euros, trois ans après la création de la société.

Ce nouveau financement – parmi les plus importants annoncés en France depuis le début de l’année sur le marché des “small caps” – montre à quel point le secteur des logiciels de réseaux sociaux est dynamique et souligne en particulier le fort pouvoir d’attraction de blueKiwi Software. Selon le cabinet d’analystes Gartner, le marché des logiciels de réseaux sociaux devrait croître de 317,5 millions de dollars en 2007 à 939,4 millions au niveau mondial en 2012, avec une croissance annuelle de 24,4%.1

Cofondée en 2006 par Carlos Diaz et Christophe Routhieau, la société compte aujourd’hui plus de 45.000 utilisateurs avec des clients et partenaires en France, en Belgique, en Allemagne, au Royaume Uni et en Scandinavie. Elle a introduit la nouvelle version du logiciel blueKiwi 2009 en janvier dernier et délivre de nouvelles fonctionnalités à un rythme soutenu en ligne avec un plan de développement particulièrement agressif.

L’investisseur historique Sofinnova Partners, qui avait déjà financé la société en juin 2007, a choisi de participer à ce second tour et reste leader, tandis que Dassault Systèmes, le leader mondial des solutions 3D et PLM, a décidé d'investir plus de 3 million d’euros. Une entrée au capital qui accompagne la signature d’un partenariat stratégique à la fois technologique et commercial entre les deux sociétés pour générer de nouvelles opportunités de croissance et délivrer leur vision commune de l’Enterprise 2.0. (voir communiqué de presse "Dassault Systèmes et blueKiwi Software : une vision commune de Social Innovation”).

“Nous sommes ravis de finaliser ce second tour et surtout d’accueillir un partenaire industriel tel que Dassault Systèmes à nos côtés" déclare Carlos Diaz, président et CEO de blueKiwi Software. "Cette alliance stratégique va nous permettre d’accélérer notre expansion internationale et de nous concentrer sur l’innovation et le développement de nouvelles barrières technologiques à l’entrée."