L'EDI (Electronic Data Interchange) est un moyen de communiquer “Point à Point” qui n’est pas à la portée de toutes les PME tandis que les grandes entreprises pratiquent l’EDI de manière intensive. Heureusement, l’adoption de ce moyen de communication n’implique pas nécessairement le remplacement du système d’information existant. Le marché offre plusieurs outils qui permettent de réaliser une interface entre le
système informatique de l’entreprise et le monde extérieur. L’implantation de telles solutions exigent cependant des travaux d’adaptation. Des entreprises spécialisées EDI sont ainsi devenues des fournisseurs d’intégration e-businness (Entreprise Application Integration). c'est le cas d'ILLICOM qui vient de décrocher un contrat chez TOYOTA.


TOYOTA Industrial Equipment souhaite réduire ses coûts administratifs en optimisant ses échanges de données fournisseurs via la mise en place d'une solution performante d'intégration.


Dans ce contexte, TOYOTA souhaite choisir un outil robuste capable d'homogénéiser, d'intégrer et de gérer aisément un volume important d'informations.


Pour ce faire, l'entreprise désire établir des échanges électroniques avec ses partenaires mais aussi avec ses importateurs dans chaque pays européens, prenant en compte la totalité de sa chaîne d'approvisionnement.


Le constructeur cherche ainsi à s'équiper d'une infrastructure de communication globale, ouverte et de haute qualité, qui supporterait leurs applications existantes et nouvelles.


Après avoir consulté les offres classiques d'EDI sur le marché, TOYOTA Industrial Equipment se tourne vers le serveur d'intégration TradeXpress, l'offre d'Illicom.


Le passage en mode EDI avec Illicom donne la possibilité à TOYOTA d'intégrer ses flux de commande fournisseurs, ses flux d'avis d'expéditions et de factures dans son outil interne de gestion développé sur AS 400, tout en respectant les différentes contraintes réglementaires tels que les standards du marché
comme l'EDIFACT.