Dans la première partie de ce papier, nous avons vu comment les anti-virus ont dû s’adapter pour faire face aux malwares polymorphes et les limites de l’analyse polymorphique.

Dans la première partie de ce papier, nous allons revenir sur le concept de signatures, point commun à tous les antivirus et revenir sur la façon dont les antivirus ont dû s’adapter pour faire face aux malwares polymorphes. Une signature est une séquence spécifique de code malveillant qui permet à l’antivirus d’identifier un malware.

Imaginons un monde où les logiciels antivirus ont cessé d’exister. Supposons que l’antivirus soit déjà mort, comme nous pouvons l’entendre dire parfois. Que nous reste-t-il ? La réponse est « rien », semble-t-il. Développons.