Ce que l'on fait en principe, c'est de créer une table intermédiaire constituée uniquement de deux clefs étrangères.
Voir par exemple ici
Heu, certes, mais je ne comprends pas votre réponse ! Bien sûr que ma table intermédiaire est constituée de de deux clefs étrangères. C'est le principe de base pour concevoir le MPD d'une relation N-N.
Mon problème, c'est que je fais de ces deux clefs une clef primaire (donc un clef composée). J'utilise ensuite cette nouvelle clef primaire dans d'autres relations. En restant dans la "norme", le principe est correct. Mais la complexité des informations que je manipule fait que je vais très certainement finir dans certaines relations/tables par avoir des clefs étrangères composées de 5 ou 6 colonnes !
La solution que je propose est une dénormalisation, qui, dans l'absolue doit fonctionner. Mais là où je me pose des questions, c'est de savoir les avantages et surtout les inconvénients de ce choix.
Ce que l'on fait en principe, c'est de créer une table intermédiaire constituée uniquement de deux clefs étrangères.
Voir par exemple ici
Heu, certes, mais je ne comprends pas votre réponse ! Bien sûr que ma table intermédiaire est constituée de de deux clefs étrangères. C'est le principe de base pour concevoir le MPD d'une relation N-N.
Mon problème, c'est que je fais de ces deux clefs une clef primaire (donc un clef composée). J'utilise ensuite cette nouvelle clef primaire dans d'autres relations. En restant dans la "norme", le principe est correct. Mais la complexité des informations que je manipule fait que je vais très certainement finir dans certaines relations/tables par avoir des clefs étrangères composées de 5 ou 6 colonnes !
La solution que je propose est une dénormalisation, qui, dans l'absolue doit fonctionner. Mais là où je me pose des questions, c'est de savoir les avantages et surtout les inconvénients de ce choix.