Historiquement, les développeurs optimisent leur travail par deux axes principaux : dynamique et statique. Les deux approches sont historiquement complémentaires, au sein d’un même projet comme pour les différents types de projets : la dynamique impose des dépendances plus fortes qui rendent le projet plus sensible à son environnement et aux évolutions. Les projets soumis à de forts enjeux de performance, de sécurité, d’intégration, de propriété intellectuelle ou de dette technique ne seront pas de bons candidats à trop de dépendances multiples ou structurantes. À l’inverse, une approche trop statique pour un projet éphémère sans ces contraintes serait une erreur alors que la roue a déjà été inventée par ailleurs. Au-delà de ces enjeux d’architecture fondamentaux, le débat de la pertinence du low-code/nocode classique fait écho à la réflexion presque philosophique des relations et des responsabilités entre la Machine et l’Humain.