J’était adolescent quand le premier film « Matrix » est sorti au cinéma. Cela aurait dû me motiver à entrer dans le monde magique de la programmation. Pourtant, ce n’est que récemment, après des études aux beaux-arts d’Angers pour être peintre, que je me suis plongé dans cette pratique complexe. Cela faisait longtemps que le démon du jeu vidéo m’habitait. Mais il a fallu que l’eau coule sous les ponts et que de nombreux plombiers sauvent de nombreuses princesses, pour que je franchisse la barrière de la création.